Le virage de la digitalisation est amorcé
Le monde a changé, nous avons modifié nos comportements, et nos métiers évoluent chaque jour un peu plus. Les assureurs n'échappent pas à ce phénomène et beaucoup d'entre eux se posent la question de savoir à quoi ressemblera leur cabinet dans quelques années. Le virage de la digitalisation est engagé pour certains, et en approche pour d'autres, une chose est sûre, qu'on le veuille ou non, il faudra le prendre sous peine de finir dans le mur. Les compagnies ont depuis quelques années amorcé ce changement, elles ont mis à disposition des assurés des tas d'outils numériques, avec plus ou moins de succès d'ailleurs, pour faciliter la vie des clients, leur déléguer une partie des tâches chronophages, et reprendre petit à petit la main sur la relation avec le client au détriment de leurs réseaux de distribution. On peut imaginer qu'à l'avenir les compagnies auront besoin de beaucoup moins de personnel, que ce soit dans les centres de gestion ou via leurs réseaux commerciaux. La plupart des tâches de gestion comme télécharger une attestation, payer sa cotisation, déclarer un sinistre, ou envoyer un décompte de sécurité sociale se fait via l'application sur le smartphone de l'assuré. Autant d'actes qui demandaient l'intervention d'une collaboratrice mais qui généraient peu de plus value. Concernant la partie commerciale, les compagnies ont simplifié les formulaires de demande de devis pour les rendre accessibles au plus grand nombre, elles ont travaillé sur des offres packagées pour répondre à un maximum de besoins.
Certaines compagnies pourraient être tentées de passer en full ebusiness, elles réaliseraient de colossales économies en matière de personnel, de location de locaux, et de charges en tout genre, cependant deux freins majeurs les retiennent. Le premier c'est l'impact social d'une telle décision et une dégradation quasi instantanée de l'image de marque. Mettre des milliers de personnes à la porte pour changer de modèle économique dégraderait de manière significative l'image de la compagnie et donc un refus de la clientèle de s'assurer chez elle. Le deuxième point que les hautes instances des compagnies ont en tête, c'est qu'on souscrit très peu de contrats en ligne en France. Nous sommes un des rares pays européens à voir nos assurés venir chercher de l'information sur internet, essayer de comparer leur contrat, mais très peu d'entre eux acceptent de souscrire en ligne.
"plus de 80% des assurés font des recherches sur internet ou sur les réseaux sociaux avant de souscrire un nouveau contrat"
Fort de ces constats, les compagnies ont besoin de leurs réseaux de distribution que ce soit les réseaux salariés, les agents ou les courtiers. Pour les réseaux salariés, ils suivent les directives de la compagnie sans pouvoir changer grand chose à leur quotidien, c'est la compagnie qui impose sa vision de la digitalisation pour son réseau. Concernant les agents et les courtiers, il est de leur responsabilité en tant que chef d'entreprise de prévoir, d'anticiper le modèle économique de demain, voire même d'aujourd'hui. Peu d'assureurs ont leur propre site personnalisé, les agents ont le "site" que la compagnie leur a fourni, identique à celui de tous leurs confrères, il est donc impossible de se différencier les uns des autres. Les courtiers ont souvent des sites qu'ils ont réalisé eux-mêmes ou fait par un prestataire peu efficace, dont les contenus n'ont pas bougé depuis des années. Quand on pense que plus de 80% des assurés font des recherches sur internet ou sur les réseaux sociaux avant de souscrire un nouveau contrat, on se dit que ne pas être présent de manière efficace est un réel handicap dans la chasse aux prospects.
Allez jeter un oeil sur www.boostez-votre-agence.com, des offres packagées vous attendent prenant en compte la création et la mise à jour de votre site personnalisé, la création et l'animation de vos réseaux sociaux, la mise en place de communication personnalisée... Les différentes formules vous permettront de trouver celle qui va vous permettre de faire de votre digitalisation une réussite.
Pour réussir sa digitalisation, il faut avoir une vision globale. On ne peut pas se contenter d'avoir un joli site internet, il faut faire venir du monde dessus. Pour ça il faut être actif sur les réseaux sociaux, en ayant un axe de communication différent de ce qu'on peut voir régulièrement et qui ne marche pas. On tient là, un des secrets de boostez-votre-agence.com, une communication réussie est une communication différente et personnalisée à votre cabinet. Si une agence web vous demande de lui envoyer vos offres commerciales du moment pour les poster, un conseil fuyez !!! Ça ne marche pas, vous avez peut être déjà essayé sur votre compte Facebook pro de publier un post avec une offre "2 mois remboursées" ou "-30%", regardez qui a liké, en général c'est vous et 2 ou 3 amis pour être sympas avec vous, mais vous n'avez pas engagé votre communauté.
Google Ads, Facebook Ads ... Quesaco
Le site internet, les réseaux sociaux, et maintenant les pubs, Google Ads, ou Facebook Ads. Combien d'assureurs sont prêts à mettre 200, 300 ou même 500€ par mois pour être dans les 3 premiers résultats de Google ? Et pourtant cette stratégie doit être perçue comme un investissement et non comme un coût, le nombre de connexions à votre site va croître de manière spectaculaire. Mieux vaut investir dans ce type de publicité plutôt que pour des manchettes dans des magazines que personne ne va lire, ou des spots radio peu efficaces. Les Google Ads ou Facebook Ads vous permettent de faire du chirurgical, vous choisissez la zone géographique, l'âge, les mots clés, les centres d'intérêts de vos futurs prospects et bien plus encore pour communiquer avec les personnes qui vous intéressent vraiment.
Vous l'aurez compris, l'assurance de demain commence aujourd'hui, ceux qui seront capables de s'adapter à ce nouvel éco système en sortiront plus forts et plus grands. Les assureurs qui ont réussi par le passé ne sont pas forcément ceux qui s'en sortiront demain, nous sommes à un moment de l'histoire où tout est possible pour celui qui saura prendre le virage de la digitalisation.
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